ALEX MORIN
JUNGLE
ROMAIN FROQUET
ILK
NED
VICTOR GUERIN
LORENZO
STEW
BAULT
KATRE
SKIO
JEAN FAUCHER
OLIVIA DE BONA
VINCENT DESAILLY
MADAME
THÉO LOPEZ
KORALIE
JERK 45
YOUSSEF BOUBEKEUR
C215
MARIANNE RATIER
TYRA
PORKAS LAMPAS
STANISLAS ZANKO
ALEXONE
LAPINTHUR
JOACHIM ROMAIN
RERO
CLÉMENT LAURENTIN
MISTER PEE
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D'un côté des imprimeurs ayant toujours suivi l'évolution technologique , de l'autre des artistes à la créativité débordante. Une confiance vieille parfois de plus de 15 ans. Enfin un endroit exceptionnel , l'espace marais-marais avec ses 3 étages, sa verrière et son patio. Le projet ART&TOUCH est né. OTRAD services et H2impression vous invitent à venir découvrir le fruit de leurs collaborations avec les artistes . Venez toucher l'encre, le papier, les supports, assister à des performances en live, et venez rencontrer les imprimeurs avec qui vous avez peut-être déjà travaillé sans vraiment les connaitre... Les oeuvres des artistes, des éditions sur papiers d'art et sur supports rigides ainsi que nos produits personnalisés seront mis en vente spécialement pour cet évènement.  ART&TOUCH  21 et 22.11 de 10h à 18h Exposition collective avec : Alëxone, Axel Morin, Bault, C215, Clément Laurentin, Difuz, French, ilk, Jean Faucheur, Jerk45, Joachim Romain, Jungle, Katre, Koralie, Lapinthur, Lorenzo, Madame, Marianne Ratier, Mister Pee, Ned, Olivia de Bona, Pokras Lampas, Rero, Romain Froquet, Skio, Stanislas Zanko, Stéphane Carricondo, Stew, Théo Lopez, Tyrsa, Untay, Victor Guerin, Vincent Desailly, Youssef Boubekeur… Remerciements :Anne FUCHS pour la création du  yer et ses précieux conseils Jéremy NIVELLE pour ses bonnes idées et le logo Le Terrier pour les bières et les cafés Alla GOLDSHTEYN notre épaule, notre béquille, notre main gauche et notre pied droit Sandra Suedile notre sauveteuse en chef Guillaume Lesourd notre AristoMaster Lucie SAVARIN pour sa flexibilité Stanislas ZANKO sans qui Art&Touch aurait eu lieu dans une cave ... Jérôme THOMAS pour le teaser et sa grande patience Paul PICARDY pour le site fait en moins de temps qu’il n’en faut pour l’écrire Vincent TIERCIN pour sa logistique bien cadrée Joffrey ROUSSEL pour tous les cut-cut L’équipe H2impression pour leur indulgence L’équipe Otrad Services pour avoir pris le relais L’équipe Bourse Copy et l’équipe Scripta pour leurs soutiens en production La Boite Concept et Pierre Henri De NARBONNE pour nos petites oreilles L’espace marais-marais pour son lieu exceptionnel Un grand merci aux Artistes car sans eux ART&TOUCH n’aurait été que touch ... Et enfin Sebastien DESGRANGES, Guillaume BLOCH et Emma MERY pour l’événement, les idées, les tirages et les nuits blanches ! Curator FranceGuillaume BLOCH  Emma MERY Curator InternationalAlla GOLDSHTEYN 
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Bault
Bault peint sur des murs des figures qui forment le vocabulaire d’un nouveau type de communication symbolique urbaine. Chimères du coin de la rue, elles évoquent la polyphonie des sociétés en mutation. Dessin frénétique aux entrelacs savants, ombrages en taches et giclées de spray, le style est unique. Artiste muraliste parmi les plus originaux de la scène parisienne, ses nombreuses réalisations et collaborations font de Bault une figure incontournable de la place, un Street Art Insider. 

 Bault peint en atelier, il cherche dans le dépouillement de taches organisées sur des supports bruts des occultismes signifiants. Sur de grandes toiles enduites de noir mat, il grave, comme sur une table d’écolier, des corps-paysages oniriques. Les outils du peintre trouvent vie, peuplant des masques primitifs où se mêlent bois, papiers déchirés, clous, proches d’un art brut/al que Bault a découvert en Haïti. L’économie des médias comme de l’écriture accroît l’efficience de la perception des signes essentiels d’une anthropologie de l’altération. Traçant un chemin entre les arts premiers contemporains, Bault est un artiste Outsider. 

Paradoxal et prolixe par la diversité de ses pratiques et de ses territoires d’expérimentations, Bault s’exprime dans une grande variété de supports et médias. Il passe de la rue à l’atelier et de l’atelier à la rue, Insider et Outsider.
  n  
C215
Christian Guémy, né en 1973, est un artiste parisien, devenu une référence en matière de pochoir et de graffiti, sous le pseudonyme de C215. Il commence à peindre au pochoir en 2006, principalement des portraits. Son modèle favori reste sa fille Nina. C'est aussi un peintre engagé de par le caractère social de ses oeuvres : il peint notamment des anonymes, des clochards, les laissés pour compte ou encore des figures du socialisme. « Au final, derrière les portraits, il est toujours question de liberté et de dignité face au système d'un capitalisme au quotidien dans nos sociétés ». Il n'hésite pas à prendre des positions politiques claires comme en 2013 avec la réalisation du portrait de Christiane Taubira qui a créé une immense polémique dans la presse française, du journal Le Monde jusqu'à Rivarol. Il aime pratiquer un art contextuel. Il a posé sa signature à Barcelone, Amsterdam, Dakar, New Delhi, Oslo, Rome, Port-au-Prince, Londres, Istanbul, Fes, ou encore Paris. Après avoir exposé au Palais de la Bénédictine à Fécamps ainsi qu'à la Mairie du 13e arrondissement de Paris en 2014, son exposition individuelle E=MC215 s'est déroulée au Musée des Arts et Métiers jusqu'à fin Avril 2015.
Clément
Clément Laurentin est né en 1978, il vit et travaille à Montreuil. Après des études d’arts appliqués à l’école Boulle, il rejoint le collectif parisien 9ème concept en 2001 et intervient dès lors en tant qu’illustrateur, peintre, graphiste puis directeur artistique sur les différents projets du groupe. Dans son travail personnel, il cherche à mettre en valeur la dimension cosmopolite et multiculturelle de nos sociétés modernes par un métissage pictural dans lequel s'opposent plusieurs lignes graphiques et sémiologiques, mélangeant typographie, cubisme, figuration libre et portraits réalistes, jouant avec des motifs et des modes de représentation inspirés de cultures diverses.
Difuz
Diego graff depuis l’âge de 14 ans. Membre actif du collectif Kintflosh. Son travail est visible sur les murs de Marseille et des pays où il voyage : Uruguay, Maroc, Israël, Argentine, Brésil, Espagne… est résolument incisif ! Soucieux de trancher, il pose un regard tout à la fois amusé et amer sur le monde qui l’entoure… Pas d’artifice pour ce jeune artiste. Son style est résolument satirique, privilégiant l’humour. Il promène son art dans des endroits improbables, en créant avec les communautés locales des projets de partage.
Né en 1956, et après un parcours artistique somme toute assez classique (Arts Décos, villa Médicis hors les Murs, etc.), Jean Faucheur sera un des précurseurs des nouvelles interventions urbaines dans les années 80 : ceux que l’on appelait « les Médias Peintres ». Réalisant des œuvres sur papier de grandes dimensions il « squatta » ainsi en 83, et ce en toute impunité, les panneaux publicitaires de Paris lors d’interventions/performances spectaculaires.  Sur cette lancée et pendant deux ans, il va à New York, Tokyo, cofonda le collectif de peintres « Les Frères Ripoulin », exposa à New York à la Galerie Tony Shafrazy, la célèbre galerie des Keith Haring et Basquiat, organisa des expositions sauvages dans le métro parisien, ainsi qu’au Palace, co-fonda la galerie Jean Marc Patras et exposa dans la toute nouvelle galerie d’Agnes b. Quittant la rue en 86, il se consacra jusqu’au début des années 2000 à son travail de sculpteur, de peintre et de photographe.  C’est en 2002, après une rencontre avec « l’artiste au cutter » TomTom qu’il va renouer avec la scène graffiti.  De cette relation naquirent de multiples interventions urbaines collectives : cycle d’expositions « Implosion/Explosion » (exposition d’œuvres sur papier de 3X8m in door et out door d’artistes urbains) en 2002, « Une Nuit »,  invasion massive sur Paris et la France des panneaux 3X4m par des peintures de plus de 150 artistes (2002, 2003, 2005), cofondateur de l’association le M.U.R. projet de mur peint renouvelable au croisement des rues St Maur et Oberkampf (2007). Artiste éclectique et polymorphe il participe à de nombreuses expériences collectives artistiques (performances vidéo/picturales : « Akylonumérik », et le collectif « D’Rush ») Jean Faucheur est peintre, sculpteur, vidéaste et photographe.
Jean Faucheur
Après avoir suivi une formation en arts graphiques, Jerk 45 fonde le collectif 9e Concept avec Stéphane Carricondo et Ned. À travers un univers fantasmagorique, coloré et foisonnant, Jerk nous conduit dans les tréfonds de son imaginaire, réussissant à y conjuguer l’esprit caustique des années punk, son enthousiasme ému pour les seventies et les fêlures de l’enfance. Dans cette jungle intérieure, ses chimères, mi-animaux mi-robots qui arpentent chacune de ses œuvres, jouent les courroies de transmission de ses angoisses et de ses obsessions. Grâce à ses collages issus de magazines rétros dont il fait la collection, il évoque l’ancien, pour mieux parler du présent.
Jerk 45
Joachim Romain
Joachim Romain est  né au Havre, ville emblématique du courant impressionniste mais aussi de la première Maison de culture et de la jeunesse. Chez lui, l’art, notamment la peinture classique ou contemporaine avait une présence importante et les murs blancs/vides n’existaient pas. Et puis vers 18 ans en arrivant à Paris, il découvre d’autres univers artistiques comme le graffiti. 
Parallèlement, vers 15 ans, son père lui offre son premier appareil photo. En tant qu’havrais, le port, la rouille et l’usure faisaient partie de son environnement et l’attiraient. Quelques années plus tard, ses premières séries sur l’usure et la typographie urbaine (Urban Typo) sont largement inspirées de cet environnement.
Enfin, l’univers de la pub pour lequel il a travaillé, lui a donné les bases de la typographie et des maquettes, et ses passages en imprimerie lui ont développé ses penchants pour le papier et l’envers de la publicité…
Jungle
Jérôme Laurent a.k.a Jungle est un artiste/plasticien parisien, né en 1968. Installé à Paris, son atelier se trouve à Saint-Denis au 6b. Son parcours a amené Jungle à côtoyer différents champs artistiques : l’univers cinématographique, la bande dessinée, le web design. Autant d’espaces qui ont construit sa sensibilité et son regard. Il dessine et peint depuis toujours. Inspiré par le cubisme, le comics américain ou les covers de pulp, sa démarche s’inscrit dans un mouvement de l’art urbain contemporain, populaire. De la rue à la toile, il met en scène un personnage ludique et fédérateur, au cœur d’un travail qui convoque l’éprouvé esthétique et émotionnel sans détour. Déjanté, fantaisiste et anthropomorphe, il évolue pleinement dans un univers coloré, et s’expose sur les différents espaces plastiques que l’artiste explore.
Né à Paris, France en 1977 Vit et travaille à Paris, France Katre s’intéresse depuis ses jeunes années à la bande dessinée, à la photographie et au dessin. Au début des année 1990, il découvre le graffiti et se passionne pour cette pratique lui permettant de s’exprimer en extérieur et d’exploiter toutes sortes de surfaces.  Intrigué par les terrains vagues et les espaces à l’abandon, il consacre sa maîtrise d’art plastique en 2003 à la piscine Molitor à Paris. En 2005, il poursuit ses recherches en signant le livre « Hors du temps » (ed Colorszoo) regroupant pour la première fois une cinquantaine d’artistes urbains évoluant dans des lieux désaffectés. Sa passion l’amène à arpenter les routes à la recherche de ces friches industrielles tout en continuant à peindre les murs parisiens. En 2012 il sort un deuxième livre : « Hors du temps 2 » (ed Pyramyd) qui s’annonce comme une nouvelle référence dans le milieu du street art français. Les voyages et les rencontres lui permettent d’intégrer plusieurs collectifs et de participer régulièrement à des festivals à travers le monde (Chine, Chili, Etats-Unis, Australie, Allemagne, Espagne, Italie…). Sa reconnaissance dans le milieu du graffiti lui offre l’occasion de participer à plusieurs expositions collectives et individuelles à partir du milieu des années 2000. Il y montre des compositions picturales explosives semblant embraser ses photographies de lieux abandonnés, qu’il imprime au préalable sur toile. Sa pratique d’atelier fait ainsi la jonction parfaite avec ses deux passions : l’exploration de lieux désaffectés et le graffiti.
Katre
Lapinthur
Matthieu Dragon (1982),  aka Lapinthur, rencontre le 9ème Concept en 2008 après ses études aux Beaux Arts de Quimper (29). 

Tout en continuant à faire évoluer son art, Matthieu enchaine les prestations pour le collectif, intervenant auprès de différentes marques… Son style affuté, empli de motifs, modelé par des ombres subtiles et sublimé par des pointes de lumière. Les formes prennent vie, les volutes ondulent sous sa ligne, la recherche du mouvement, réussir à capter l’énergie, la force de l’être dans son instinct le plus profond… 

Depuis maintenant 1 ans, LapinThur transpose son imaginaire en volume. En cherchant à sortir des murs, du papier ou de la toile, il donne une autre dimension à la recherche du mouvement et lui donne vie à l’aide de bandes de papier, de bois, cintrées, entortillées et colorées. À chaque nouvel angle de vue, une nouvelle vision de l’oeuvre, l’abstraction joue son rôle à son paroxysme et le spectateur devient alors le propre décisionnaire de l’interprétation de l’oeuvre….
Pockras
Pokras Lampas vient de Saint-Petersbourg. Il est considéré comme un Maître de la calligraphie moderne, avec de nombreuses années d’expérience dans le street-art. Artiste polyvalent et dynamique, il est en permanence sur plusieurs fronts : expositions, festivals, performances, design, communication… Ses créations calligraphiques, à grande échelle, s’intègre autant dans l’environnement urbain qu’à l’intérieur des foyers, et même sur les corps humains. Son travail évolue grâce à l’expérimentation constante, sur la base de nouvelles formes et des volumes typographiques.  En 2015 Pokras Lampas a participé au fameux festival K-Live dans la ville de Sète. 
Romain Froquet
Romain Froquet est un artiste français, né à Villeurbanne en 1982. Il vit et travaille à Paris. Artiste autodidacte, il fait ses premiers pas dans le domaine artistique en 2000. A force de répétition et de travail de la ligne il fini par développer son propre langage pictural. Il puise ses inspirations dans l’art ethnique et l’univers urbain. Il est aussi à l’aise en exécutant des dessins à l’encre de chine sur papier, ou en travaillant  la matière et la couleur sur toile en atelier que lors d’interventions in situ. Sa quête principale est la recherche de l’équilibre au travers de la gestuelle. Il n’hésite pas à développer cette recherche lors d’expositions ou de résidences artistiques en France ou à l’étranger ; en Inde et aux Etats-Unis.
Stew
Être au bon endroit au bon moment.

 La formule revient souvent dans le discours de Stew. À 36 ans, Stew sait de quoi il parle. Il lui aura fallu près de vingt ans pour se faire un nom dans le milieu du street art. De son premier tag de vandale à la fresque monumentale de 52 mètres à Paris 13, il en a parcouru du chemin.

 "J’ai toujours été passionné par la culture underground, le punk, la techno, le hip hop. J’ai passé de nombreuses nuits à arpenter les rails de chemins de fer, à traîner dans les technivals et à peindre et puis il y a eu cette attirance pour l’Asie et les pochoirs, qui m’ont permis de canaliser mon élan créatif...
Graphiste de formation, Théo Lopez s’est investi très jeune dans une démarche artistique.  En 2008, sa rencontre avec le collectif 9ème Concept l’incite à prendre un virage pictural décisif. Entouré d’artistes confirmés et mu par une curiosité grandissante grâce à ses nombreux voyages en Russie, en Israël ou aux Etats-Unis , il étend sa vision au-delà de ses aspirations originelles. A 26 ans, il partage son univers si singulier à travers un œil aiguisé.       Inspiré d'abord par des influences tribales et spirituelles, Théo Lopez bascule aujourd'hui dans l'abstrait. Créant des œuvres chargées de motifs et d'effets d'optiques à ses débuts, sa recherche est aujourd'hui guidée par un besoin d'épuration, un souci de trouver l'essence même de sa ligne. À l'instar du travail de Soulage, Hartung, Kandisky ou encore de ses contemporains graffuturistes, Robert Hardgrave, Dave Kinsey, Rys78, 2501 ou bien d’autres, Il va chercher une poésie dans le travail de la matière, de la ligne et de la couleur.   L'expérimentation fait partie intégrante du processus créatif de Théo. La création d’une œuvre oscille ainsi constamment entre deux concepts opposés mais complémentaires : réflexion et spontanéité. Son premier travail, spontané et intuitif, se forme d'écritures aléatoires courbe et de gestuelle qu’il structure ensuite avec des lignes droites et des formes géométriques.    Cette opération répétée engendre une transformation. L'artiste ne suit pas de cheminement précis, la peinture se réalise en temps réel. Découper, casser, tracer, structurer, recouvrir, ajouter, gratter, dissimuler, révéler...Théo conçoit la peinture comme un sculpteur, jouant avec l'aléatoire et provoquant l'accident pour s'en inspirer.   De la métamorphose émane une poésie hybride. Les différentes couches se fondent, les couleurs dialoguent, les lignes vibrent et se répondent, la peinture accumulée prend du relief. Ces contrastes évoquent des flux d'énergies, des lueurs subconscientes, la toile est habitée. Articulant de cette façon toutes ces contradictions apparentes, il réussit à réveiller entre elles de secrètes harmoniques, qui en définitive vont devenir la signature de son propre style.
Théo Lopez
Untay
Boaz Sides (aka UNTAY) vit et travaille à Tel Aviv, diplômé avec les honneurs du département, à l'Institut de la Communication Visuelle et de la Technologie de Holon. Untay est un membre actif de différents collectifs et projets de la scène alternative street art d’Israël.

Il travaille avec de nombreux médiums, nourrit ses recherches, inspirés par l'environnement dans lequel il vit et travaille.

Les œuvres de Untay traitent principalement des événements sociaux significatifs dans le domaine local et mondial et les expériences personnelles qui le guident en tant qu’artiste. Les travaux sont donc panachées, certains autobiographiques et d'autres objectifs. 

La première partie de son travail est urbaine, art contextuel, il résonne avec son environnement.

La deuxième phase de création se fait dans le studio : dessins classiques, illustrations, peintures et designs créés sur une variété de surfaces telles que le papier, le tissu, le carton, le bois, et des objets trouvés à l'extérieur qui conservent des textures naturelles.

 Depuis 2015 Untay participe à de nombreux projets à Paris. Comme un Live Painting avec La Manufacture 111, le festival Parcours Aucwin, etc. sous la curation d'Alla Goldshteyn Site 
http://untayart.com 
Facebook 
https://www.facebook.com/UNTAY.art.design
 Instagram https://instagram.com/boazsides_untay/
MISTER PEE
Thomas Dityvon Aka MISTER PEE pousse son premier cri en 1975. Baigné dès son plus jeune âge dans le monde de l’image avec un père photographe, il fait ses premières armes sur les murs des terrains vagues de son quartier. Diplômé des écoles d’arts appliqués Olivier-de-Serres et Duperré, il débute tout d’abord en tant que graphiste à son compte, et se dirige progressivement vers l’illustration. Depuis quelques années MISTER PEE revient à ses premières amours en intervenant régulièrement dans la rue par le biais de collages et de peintures murales. Son univers loufoque est le théâtre de saynètes et d’images-rébus qui interrogent les sentiments et les humeurs de la condition humaine.
ALEXONE ALEX MORIN BAULT C215 CLÉMENT LAURENTIN DIFUZ FRENCH ILK JEAN FAUCHER JERK 45 JOACHIM ROMAIN JUNGLE KATRE KORALIE LAPINTHUR LORENZO MADAME MARIANNE RATIER MISTER PEE NED OLIVIA DE BONA PORKAS LAMPAS RERO ROMAIN FROQUET SKIO STANISLAS ZANKO STEPHANE CARRICONDO STEW THÉO LOPEZ TYRA UNTAY VICTOR GUERIN VINCENT DESAILLY YOUSSEF BOUBEKEUR
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Réalisation et conseption du site internet par Paul Picardy © toutes les images présentes sur ce site appartiennent à leurs auteurs
5 bis, rue de Beauce - 75003 Paris
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D'un côté des imprimeurs ayant toujours suivi l'évolution technologique , de l'autre des artistes à la créativité débordante. Une confiance vieille parfois de plus de 15 ans. Enfin un endroit exceptionnel , l'espace marais-marais avec ses 3 étages, sa verrière et son patio. Le projet ART&TOUCH est né. OTRAD services et H2impression vous invitent à venir découvrir le fruit de leurs collaborations avec les artistes . Venez toucher l'encre, le papier, les supports, assister à des performances en live, et venez rencontrer les imprimeurs avec qui vous avez peut-être déjà travaillé sans vraiment les connaitre... Les oeuvres des artistes, des éditions sur papiers d'art et sur supports rigides ainsi que nos produits personnalisés seront mis en vente spécialement pour cet évènement.  ART&TOUCH  21 et 22.11 de 10h à 18h Exposition collective avec : Alëxone, Axel Morin, Bault, C215, Clément Laurentin, Difuz, French, ilk, Jean Faucheur, Jerk45, Joachim Romain, Jungle, Katre, Koralie, Lapinthur, Lorenzo, Madame, Marianne Ratier, Mister Pee, Ned, Olivia de Bona, Pokras Lampas, Rero, Romain Froquet, Skio, Stanislas Zanko, Stéphane Carricondo, Stew, Théo Lopez, Tyrsa, Untay, Victor Guerin, Vincent Desailly, Youssef Boubekeur… Remerciements : Anne FUCHS pour la création du  yer et ses précieux conseils Jéremy NIVELLE pour ses bonnes idées et le logo Le Terrier pour les bières et les cafés Alla GOLDSHTEYN notre épaule, notre béquille, notre main gauche et notre pied droit Sandra Suedile notre sauveteuse en chef Guillaume Lesourd notre AristoMaster Lucie SAVARIN pour sa flexibilité Stanislas ZANKO sans qui Art&Touch aurait eu lieu dans une cave ... Jérôme THOMAS pour le teaser et sa grande patience Paul PICARDY pour le site fait en moins de temps qu’il n’en faut pour l’écrire Vincent TIERCIN pour sa logistique bien cadrée Joffrey ROUSSEL pour tous les cut-cut L’équipe H2impression pour leur indulgence L’équipe Otrad Services pour avoir pris le relais L’équipe Bourse Copy et l’équipe Scripta pour leurs soutiens en production La Boite Concept et Pierre Henri De NARBONNE pour nos petites oreilles L’espace marais-marais pour son lieu exceptionnel Un grand merci aux Artistes car sans eux ART&TOUCH n’aurait été que touch ... Et enfin Sebastien DESGRANGES, Guillaume BLOCH et Emma MERY pour l’événement, les idées, les tirages et les nuits blanches ! Curator France Guillaume BLOCH  Emma MERY Curator International Alla GOLDSHTEYN 
ALEXONE ALEX MORIN BAULT C215 CLÉMENT LAURENTIN DIFUZ FRENCH ILK JEAN FAUCHER JERK 45JOACHIM ROMAIN JUNGLE KATRE KORALIE LAPINTHUR LORENZO MADAME MARIANNE RATIER MISTER PEE NED OLIVIA DE BONA PORKAS LAMPAS RERO ROMAIN FROQUET SKIO STANISLAS ZANKO STEPHANE CARRICONDO STEW THÉO LOPEZ TYRA UNTAY VICTOR GUERIN VINCENT DESAILLY YOUSSEF BOUBEKEUR
Christian Guémy, né en 1973, est un artiste parisien, devenu une référence en matière de pochoir et de graffiti, sous le pseudonyme de C215. Il commence à peindre au pochoir en 2006, principalement des portraits. Son modèle favori reste sa fille Nina. C'est aussi un peintre engagé de par le caractère social de ses oeuvres : il peint notamment des anonymes, des clochards, les laissés pour compte ou encore des figures du socialisme. « Au final, derrière les portraits, il est toujours question de liberté et de dignité face au système d'un capitalisme au quotidien dans nos sociétés ». Il n'hésite pas à prendre des positions politiques claires comme en 2013 avec la réalisation du portrait de Christiane Taubira qui a créé une immense polémique dans la presse française, du journal Le Monde jusqu'à Rivarol. Il aime pratiquer un art contextuel. Il a posé sa signature à Barcelone, Amsterdam, Dakar, New Delhi, Oslo, Rome, Port-au-Prince, Londres, Istanbul, Fes, ou encore Paris. Après avoir exposé au Palais de la Bénédictine à Fécamps ainsi qu'à la Mairie du 13e arrondissement de Paris en 2014, son exposition individuelle E=MC215 s'est déroulée au Musée des Arts et Métiers jusqu'à fin Avril 2015.

 Bault peint en atelier, il cherche dans le dépouillement de taches organisées sur des supports bruts des occultismes signifiants. Sur de grandes toiles enduites de noir mat, il grave, comme sur une table d’écolier, des corps-paysages oniriques. Les outils du peintre trouvent vie, peuplant des masques primitifs où se mêlent bois, papiers déchirés, clous, proches d’un art brut/al que Bault a découvert en Haïti. L’économie des médias comme de l’écriture accroît l’efficience de la perception des signes essentiels d’une anthropologie de l’altération. Traçant un chemin entre les arts premiers contemporains, Bault est un artiste Outsider. 

Paradoxal et prolixe par la diversité de ses pratiques et de ses territoires d’expérimentations, Bault s’exprime dans une grande variété de supports et médias. Il passe de la rue à l’atelier et de l’atelier à la rue, Insider et Outsider.
Clément Laurentin est né en 1978, il vit et travaille à Montreuil. Après des études d’arts appliqués à l’école Boulle, il rejoint le collectif parisien 9ème concept en 2001 et intervient dès lors en tant qu’illustrateur, peintre, graphiste puis directeur artistique sur les différents projets du groupe. Dans son travail personnel, il cherche à mettre en valeur la dimension cosmopolite et multiculturelle de nos sociétés modernes par un métissage pictural dans lequel s'opposent plusieurs lignes graphiques et sémiologiques, mélangeant typographie, cubisme, figuration libre et portraits réalistes, jouant avec des motifs et des modes de représentation inspirés de cultures diverses. Il commence à peindre au pochoir en 2006, principalement des portraits. Son modèle favori reste sa fille Nina. C'est aussi un peintre engagé de par le caractère social de ses oeuvres : il peint notamment des anonymes, des clochards, les laissés pour compte ou encore des figures du socialisme. « Au final, derrière les portraits, il est toujours question de liberté et de dignité face au système d'un capitalisme au quotidien dans nos sociétés ». Il n'hésite pas à prendre des positions politiques claires comme en 2013 avec la réalisation du portrait de Christiane Taubira qui a créé une immense polémique dans la presse française, du journal Le Monde jusqu'à Rivarol. Il aime pratiquer un art contextuel. Il a posé sa signature à Barcelone, Amsterdam, Dakar, New Delhi, Oslo, Rome, Port-au-Prince, Londres, Istanbul, Fes, ou encore Paris. Après avoir exposé au Palais de la Bénédictine à Fécamps ainsi qu'à la Mairie du 13e arrondissement de Paris en 2014, son exposition individuelle E=MC215 s'est déroulée au Musée des Arts et Métiers jusqu'à fin Avril 2015.

 Bault peint en atelier, il cherche dans le dépouillement de taches organisées sur des supports bruts des occultismes signifiants. Sur de grandes toiles enduites de noir mat, il grave, comme sur une table d’écolier, des corps-paysages oniriques. Les outils du peintre trouvent vie, peuplant des masques primitifs où se mêlent bois, papiers déchirés, clous, proches d’un art brut/al que Bault a découvert en Haïti. L’économie des médias comme de l’écriture accroît l’efficience de la perception des signes essentiels d’une anthropologie de l’altération. Traçant un chemin entre les arts premiers contemporains, Bault est un artiste Outsider. 

Paradoxal et prolixe par la diversité de ses pratiques et de ses territoires d’expérimentations, Bault s’exprime dans une grande variété de supports et médias. Il passe de la rue à l’atelier et de l’atelier à la rue, Insider et Outsider.
Diego graff depuis l’âge de 14 ans. Membre actif du collectif Kintflosh. Son travail est visible sur les murs de Marseille et des pays où il voyage : Uruguay, Maroc, Israël, Argentine, Brésil, Espagne… est résolument incisif ! Soucieux de trancher, il pose un regard tout à la fois amusé et amer sur le monde qui l’entoure… Pas d’artifice pour ce jeune artiste. Son style est résolument satirique, privilégiant l’humour. Il promène son art dans des endroits improbables, en créant avec les communautés locales des projets de partage. Il commence à peindre au pochoir en 2006, principalement des portraits. Son modèle favori reste sa fille Nina. C'est aussi un peintre engagé de par le caractère social de ses oeuvres : il peint notamment des anonymes, des clochards, les laissés pour compte ou encore des figures du socialisme. « Au final, derrière les portraits, il est toujours question de liberté et de dignité face au système d'un capitalisme au quotidien dans nos sociétés ». Il n'hésite pas à prendre des positions politiques claires comme en 2013 avec la réalisation du portrait de Christiane Taubira qui a créé une immense polémique dans la presse française, du journal Le Monde jusqu'à Rivarol. Il aime pratiquer un art contextuel. Il a posé sa signature à Barcelone, Amsterdam, Dakar, New Delhi, Oslo, Rome, Port-au-Prince, Londres, Istanbul, Fes, ou encore Paris. Après avoir exposé au Palais de la Bénédictine à Fécamps ainsi qu'à la Mairie du 13e arrondissement de Paris en 2014, son exposition individuelle E=MC215 s'est déroulée au Musée des Arts et Métiers jusqu'à fin Avril 2015.

 Bault peint en atelier, il cherche dans le dépouillement de taches organisées sur des supports bruts des occultismes signifiants. Sur de grandes toiles enduites de noir mat, il grave, comme sur une table d’écolier, des corps-paysages oniriques. Les outils du peintre trouvent vie, peuplant des masques primitifs où se mêlent bois, papiers déchirés, clous, proches d’un art brut/al que Bault a découvert en Haïti. L’économie des médias comme de l’écriture accroît l’efficience de la perception des signes essentiels d’une anthropologie de l’altération. Traçant un chemin entre les arts premiers contemporains, Bault est un artiste Outsider. 

Paradoxal et prolixe par la diversité de ses pratiques et de ses territoires d’expérimentations, Bault s’exprime dans une grande variété de supports et médias. Il passe de la rue à l’atelier et de l’atelier à la rue, Insider et Outsider.
Né en 1956, et après un parcours artistique somme toute assez classique (Arts Décos, villa Médicis hors les Murs, etc.), Jean Faucheur sera un des précurseurs des nouvelles interventions urbaines dans les années 80 : ceux que l’on appelait « les Médias Peintres ». Réalisant des œuvres sur papier de grandes dimensions il « squatta » ainsi en 83, et ce en toute impunité, les panneaux publicitaires de Paris lors d’interventions/performances spectaculaires.  Sur cette lancée et pendant deux ans, il va à New York, Tokyo, cofonda le collectif de peintres « Les Frères Ripoulin », exposa à New York à la Galerie Tony Shafrazy, la célèbre galerie des Keith Haring et Basquiat, organisa des expositions sauvages dans le métro parisien, ainsi qu’au Palace, co-fonda la galerie Jean Marc Patras et exposa dans la toute nouvelle galerie d’Agnes b. Quittant la rue en 86, il se consacra jusqu’au début des années 2000 à son travail de sculpteur, de peintre et de photographe.  C’est en 2002, après une rencontre avec « l’artiste au cutter » TomTom qu’il va renouer avec la scène graffiti.  De cette relation naquirent de multiples interventions urbaines collectives : cycle d’expositions « Implosion/Explosion » (exposition d’œuvres sur papier de 3X8m in door et out door d’artistes urbains) en 2002, « Une Nuit »,  invasion massive sur Paris et la France des panneaux 3X4m par des peintures de plus de 150 artistes (2002, 2003, 2005), cofondateur de l’association le M.U.R. projet de mur peint renouvelable au croisement des rues St Maur et Oberkampf (2007). Artiste éclectique et polymorphe il participe à de nombreuses expériences collectives artistiques (performances vidéo/picturales : « Akylonumérik », et le collectif « D’Rush ») Jean Faucheur est peintre, sculpteur, vidéaste et photographe. Il commence à peindre au pochoir en 2006, principalement des portraits. Son modèle favori reste sa fille Nina. C'est aussi un peintre engagé de par le caractère social de ses oeuvres : il peint notamment des anonymes, des clochards, les laissés pour compte ou encore des figures du socialisme. « Au final, derrière les portraits, il est toujours question de liberté et de dignité face au système d'un capitalisme au quotidien dans nos sociétés ». Il n'hésite pas à prendre des positions politiques claires comme en 2013 avec la réalisation du portrait de Christiane Taubira qui a créé une immense polémique dans la presse française, du journal Le Monde jusqu'à Rivarol. Il aime pratiquer un art contextuel. Il a posé sa signature à Barcelone, Amsterdam, Dakar, New Delhi, Oslo, Rome, Port-au-Prince, Londres, Istanbul, Fes, ou encore Paris. Après avoir exposé au Palais de la Bénédictine à Fécamps ainsi qu'à la Mairie du 13e arrondissement de Paris en 2014, son exposition individuelle E=MC215 s'est déroulée au Musée des Arts et Métiers jusqu'à fin Avril 2015.

 Bault peint en atelier, il cherche dans le dépouillement de taches organisées sur des supports bruts des occultismes signifiants. Sur de grandes toiles enduites de noir mat, il grave, comme sur une table d’écolier, des corps-paysages oniriques. Les outils du peintre trouvent vie, peuplant des masques primitifs où se mêlent bois, papiers déchirés, clous, proches d’un art brut/al que Bault a découvert en Haïti. L’économie des médias comme de l’écriture accroît l’efficience de la perception des signes essentiels d’une anthropologie de l’altération. Traçant un chemin entre les arts premiers contemporains, Bault est un artiste Outsider. 

Paradoxal et prolixe par la diversité de ses pratiques et de ses territoires d’expérimentations, Bault s’exprime dans une grande variété de supports et médias. Il passe de la rue à l’atelier et de l’atelier à la rue, Insider et Outsider.
Après avoir suivi une formation en arts graphiques, Jerk 45 fonde le collectif 9e Concept avec Stéphane Carricondo et Ned. À travers un univers fantasmagorique, coloré et foisonnant, Jerk nous conduit dans les tréfonds de son imaginaire, réussissant à y conjuguer l’esprit caustique des années punk, son enthousiasme ému pour les seventies et les fêlures de l’enfance. Dans cette jungle intérieure, ses chimères, mi-animaux mi-robots qui arpentent chacune de ses œuvres, jouent les courroies de transmission de ses angoisses et de ses obsessions. Grâce à ses collages issus de magazines rétros dont il fait la collection, il évoque l’ancien, pour mieux parler du présent.
Jerk 45
Joachim Romain est  né au Havre, ville emblématique du courant impressionniste mais aussi de la première Maison de culture et de la jeunesse. Chez lui, l’art, notamment la peinture classique ou contemporaine avait une présence importante et les murs blancs/vides n’existaient pas. Et puis vers 18 ans en arrivant à Paris, il découvre d’autres univers artistiques comme le graffiti. 
Parallèlement, vers 15 ans, son père lui offre son premier appareil photo. En tant qu’havrais, le port, la rouille et l’usure faisaient partie de son environnement et l’attiraient. Quelques années plus tard, ses premières séries sur l’usure et la typographie urbaine (Urban Typo) sont largement inspirées de cet environnement.
Enfin, l’univers de la pub pour lequel il a travaillé, lui a donné les bases de la typographie et des maquettes, et ses passages en imprimerie lui ont développé ses penchants pour le papier et l’envers de la publicité… Il commence à peindre au pochoir en 2006, principalement des portraits. Son modèle favori reste sa fille Nina. C'est aussi un peintre engagé de par le caractère social de ses oeuvres : il peint notamment des anonymes, des clochards, les laissés pour compte ou encore des figures du socialisme. « Au final, derrière les portraits, il est toujours question de liberté et de dignité face au système d'un capitalisme au quotidien dans nos sociétés ». Il n'hésite pas à prendre des positions politiques claires comme en 2013 avec la réalisation du portrait de Christiane Taubira qui a créé une immense polémique dans la presse française, du journal Le Monde jusqu'à Rivarol. Il aime pratiquer un art contextuel. Il a posé sa signature à Barcelone, Amsterdam, Dakar, New Delhi, Oslo, Rome, Port-au-Prince, Londres, Istanbul, Fes, ou encore Paris. Après avoir exposé au Palais de la Bénédictine à Fécamps ainsi qu'à la Mairie du 13e arrondissement de Paris en 2014, son exposition individuelle E=MC215 s'est déroulée au Musée des Arts et Métiers jusqu'à fin Avril 2015.

 Bault peint en atelier, il cherche dans le dépouillement de taches organisées sur des supports bruts des occultismes signifiants. Sur de grandes toiles enduites de noir mat, il grave, comme sur une table d’écolier, des corps-paysages oniriques. Les outils du peintre trouvent vie, peuplant des masques primitifs où se mêlent bois, papiers déchirés, clous, proches d’un art brut/al que Bault a découvert en Haïti. L’économie des médias comme de l’écriture accroît l’efficience de la perception des signes essentiels d’une anthropologie de l’altération. Traçant un chemin entre les arts premiers contemporains, Bault est un artiste Outsider. 

Paradoxal et prolixe par la diversité de ses pratiques et de ses territoires d’expérimentations, Bault s’exprime dans une grande variété de supports et médias. Il passe de la rue à l’atelier et de l’atelier à la rue, Insider et Outsider.
Jérôme Laurent a.k.a Jungle est un artiste/plasticien parisien, né en 1968. Installé à Paris, son atelier se trouve à Saint-Denis au 6b. Son parcours a amené Jungle à côtoyer différents champs artistiques : l’univers cinématographique, la bande dessinée, le web design. Autant d’espaces qui ont construit sa sensibilité et son regard. Il dessine et peint depuis toujours. Inspiré par le cubisme, le comics américain ou les covers de pulp, sa démarche s’inscrit dans un mouvement de l’art urbain contemporain, populaire. De la rue à la toile, il met en scène un personnage ludique et fédérateur, au cœur d’un travail qui convoque l’éprouvé esthétique et émotionnel sans détour. Déjanté, fantaisiste et anthropomorphe, il évolue pleinement dans un univers coloré, et s’expose sur les différents espaces plastiques que l’artiste explore.
Né à Paris, France en 1977 Vit et travaille à Paris, France Katre s’intéresse depuis ses jeunes années à la bande dessinée, à la photographie et au dessin. Au début des année 1990, il découvre le graffiti et se passionne pour cette pratique lui permettant de s’exprimer en extérieur et d’exploiter toutes sortes de surfaces.  Intrigué par les terrains vagues et les espaces à l’abandon, il consacre sa maîtrise d’art plastique en 2003 à la piscine Molitor à Paris. En 2005, il poursuit ses recherches en signant le livre « Hors du temps » (ed Colorszoo) regroupant pour la première fois une cinquantaine d’artistes urbains évoluant dans des lieux désaffectés. Sa passion l’amène à arpenter les routes à la recherche de ces friches industrielles tout en continuant à peindre les murs parisiens. En 2012 il sort un deuxième livre : « Hors du temps 2 » (ed Pyramyd) qui s’annonce comme une nouvelle référence dans le milieu du street art français. Les voyages et les rencontres lui permettent d’intégrer plusieurs collectifs et de participer régulièrement à des festivals à travers le monde (Chine, Chili, Etats-Unis, Australie, Allemagne, Espagne, Italie…). Sa reconnaissance dans le milieu du graffiti lui offre l’occasion de participer à plusieurs expositions collectives et individuelles à partir du milieu des années 2000. Il y montre des compositions picturales explosives semblant embraser ses photographies de lieux abandonnés, qu’il imprime au préalable sur toile. Sa pratique d’atelier fait ainsi la jonction parfaite avec ses deux passions : l’exploration de lieux désaffectés et le graffiti.
Matthieu Dragon (1982),  aka Lapinthur, rencontre le 9ème Concept en 2008 après ses études aux Beaux Arts de Quimper (29). 

Tout en continuant à faire évoluer son art, Matthieu enchaine les prestations pour le collectif, intervenant auprès de différentes marques… Son style affuté, empli de motifs, modelé par des ombres subtiles et sublimé par des pointes de lumière. Les formes prennent vie, les volutes ondulent sous sa ligne, la recherche du mouvement, réussir à capter l’énergie, la force de l’être dans son instinct le plus profond… 

Depuis maintenant 1 ans, LapinThur transpose son imaginaire en volume. En cherchant à sortir des murs, du papier ou de la toile, il donne une autre dimension à la recherche du mouvement et lui donne vie à l’aide de bandes de papier, de bois, cintrées, entortillées et colorées. À chaque nouvel angle de vue, une nouvelle vision de l’oeuvre, l’abstraction joue son rôle à son paroxysme et le spectateur devient alors le propre décisionnaire de l’interprétation de l’oeuvre….
Pokras Lampas vient de Saint-Petersbourg. Il est considéré comme un Maître de la calligraphie moderne, avec de nombreuses années d’expérience dans le street-art. Artiste polyvalent et dynamique, il est en permanence sur plusieurs fronts : expositions, festivals, performances, design, communication… Ses créations calligraphiques, à grande échelle, s’intègre autant dans l’environnement urbain qu’à l’intérieur des foyers, et même sur les corps humains. Son travail évolue grâce à l’expérimentation constante, sur la base de nouvelles formes et des volumes typographiques.  En 2015 Pokras Lampas a participé au fameux festival K-Live dans la ville de Sète. 
Romain Froquet est un artiste français, né à Villeurbanne en 1982. Il vit et travaille à Paris. Artiste autodidacte, il fait ses premiers pas dans le domaine artistique en 2000. A force de répétition et de travail de la ligne il fini par développer son propre langage pictural. Il puise ses inspirations dans l’art ethnique et l’univers urbain. Il est aussi à l’aise en exécutant des dessins à l’encre de chine sur papier, ou en travaillant  la matière et la couleur sur toile en atelier que lors d’interventions in situ. Sa quête principale est la recherche de l’équilibre au travers de la gestuelle. Il n’hésite pas à développer cette recherche lors d’expositions ou de résidences artistiques en France ou à l’étranger ; en Inde et aux Etats-Unis.
Être au bon endroit au bon moment.

 La formule revient souvent dans le discours de Stew. À 36 ans, Stew sait de quoi il parle. Il lui aura fallu près de vingt ans pour se faire un nom dans le milieu du street art. De son premier tag de vandale à la fresque monumentale de 52 mètres à Paris 13, il en a parcouru du chemin.

 "J’ai toujours été passionné par la culture underground, le punk, la techno, le hip hop. J’ai passé de nombreuses nuits à arpenter les rails de chemins de fer, à traîner dans les technivals et à peindre et puis il y a eu cette attirance pour l’Asie et les pochoirs, qui m’ont permis de canaliser mon élan créatif...
Graphiste de formation, Théo Lopez s’est investi très jeune dans une démarche artistique.  En 2008, sa rencontre avec le collectif 9ème Concept l’incite à prendre un virage pictural décisif. Entouré d’artistes confirmés et mu par une curiosité grandissante grâce à ses nombreux voyages en Russie, en Israël ou aux Etats-Unis , il étend sa vision au-delà de ses aspirations originelles. A 26 ans, il partage son univers si singulier à travers un œil aiguisé.
Boaz Sides (aka UNTAY) vit et travaille à Tel Aviv, diplômé avec les honneurs du département, à l'Institut de la Communication Visuelle et de la Technologie de Holon. Untay est un membre actif de différents collectifs et projets de la scène alternative street art d’Israël.

Il travaille avec de nombreux médiums, nourrit ses recherches, inspirés par l'environnement dans lequel il vit et travaille.

Les œuvres de Untay traitent principalement des événements sociaux significatifs dans le domaine local et mondial et les expériences personnelles qui le guident en tant qu’artiste. Les travaux sont donc panachées, certains autobiographiques et d'autres objectifs. 

La première partie de son travail est urbaine, art contextuel, il résonne avec son environnement.

La deuxième phase de création se fait dans le studio : dessins classiques, illustrations, peintures et designs créés sur une variété de surfaces telles que le papier, le tissu, le carton, le bois, et des objets trouvés à l'extérieur qui conservent des textures naturelles.

 Depuis 2015 Untay participe à de nombreux projets à Paris. Comme un Live Painting avec La Manufacture 111, le festival Parcours Aucwin, etc. sous la curation d'Alla Goldshteyn Site 
http://untayart.com 
Facebook 
https://www.facebook.com/UNTAY.art.design
 Instagram https://instagram.com/boazsides_untay/
Thomas Dityvon Aka MISTER PEE pousse son premier cri en 1975. Baigné dès son plus jeune âge dans le monde de l’image avec un père photographe, il fait ses premières armes sur les murs des terrains vagues de son quartier. Diplômé des écoles d’arts appliqués Olivier-de-Serres et Duperré, il débute tout d’abord en tant que graphiste à son compte, et se dirige progressivement vers l’illustration. Depuis quelques années MISTER PEE revient à ses premières amours en intervenant régulièrement dans la rue par le biais de collages et de peintures murales. Son univers loufoque est le théâtre de saynètes et d’images-rébus qui interrogent les sentiments et les humeurs de la condition humaine.
Né en 1971, Stéphane Nedellec alias NED vit et travaille à Paris. Il suit une formation en arts graphiques avant de fonder en 1990, avec Stéphane Carricondo et Jerk45, Le 9ème Concept. Ned joue avec une multiplicité d’influences. Ses origines bretonnes ont forgé son trait qui évolue sans cesse. Ainsi, les motifs entrelacés abondent, déclinés en volutes, spirales, ou labyrinthes complexes. Aujourd’hui, il aspire à un travail plus abstrait, alliant héraldique tribale et géométrie.
Ned
Stanislas Zanko, propose un regard sur le monde à travers des lentilles qui dédoublent le sujet entre netteté du prisme et flou de l’arrière plan. Les baguettes magiques de toute forme qu’il utilise, agissent comme des « condensateurs d’image » qui, en plus de créer un effet visuel « introspectif » singulier ont également la propriété de placer le sujet dans une attente. Comme aux origines de la photographie, Stanislas Zanko inverse la logique « chasseur d’image » et fait en sorte que les modèles se prêtent au jeu par curiosité. Il provoque ainsi une rencontre au cours de laquelle il offre la possibilité de formuler un vœu tandis qu’il interpose devant l’objectif un des ses outils de forme varié. « Je les photographie avec une pensée » Autre règle d’or : malgré le confort du numérique, une seule prise de vue et aucun artifice de retouche numérique.  Avec plus de 10 000   clichés, Stanislas Zanko a finalement créé une « communauté » de modèles qui ont tous, comme point commun, ses baguettes magiques.
Stanislas Zanko
Stanislas Zanko, propose un regard sur le monde à travers des lentilles qui dédoublent le sujet entre netteté du prisme et flou de l’arrière plan. Les baguettes magiques de toute forme qu’il utilise, agissent comme des « condensateurs d’image » qui, en plus de créer un effet visuel « introspectif » singulier ont également la propriété de placer le sujet dans une attente. Comme aux origines de la photographie, Stanislas Zanko inverse la logique « chasseur d’image » et fait en sorte que les modèles se prêtent au jeu par curiosité. Il provoque ainsi une rencontre au cours de laquelle il offre la possibilité de formuler un vœu tandis qu’il interpose devant l’objectif un des ses outils de forme varié. « Je les photographie avec une pensée » Autre règle d’or : malgré le confort du numérique, une seule prise de vue et aucun artifice de retouche numérique.  Avec plus de 10 000   clichés, Stanislas Zanko a finalement créé une « communauté » de modèles qui ont tous, comme point commun, ses baguettes magiques.
French est un artiste autodidacte de 23 ans, vivant à Vitry-sur-Seine. Il dessine dès son plus jeune âge, entouré de parents créatifs. Avec la découverte de la culture Hip Hop à l'adolescence, il se tourne alors vers le graffiti vandale, qu'il pratique depuis près de 10 ans, à Marseille dans un premier temps puis en région parisienne. Il poursuit son parcours scolaire avec des études de graphisme et d’imprimerie. 2012 marque son passage de la rue à l'atelier. Sans délaisser pour autant sa pratique urbaine, cette nouvelle approche lui permet de développer sa technique picturale et de s'essayer à un autre support: la toile. A ses œuvres sur toile s'ajoute le design de meubles et d'objets qu'il détourne et customise. Son travail se caractérise par une accumulation graphique d'éléments Récurrent à laquelle s'ajoute la notion de directions multiples. Il offre ainsi une réflexion sur le passé que l'on traîne et sur les mains tendues vers soi au cours de notre vie, tant pour nous hisser vers le haut que pour nous pousser vers le bas.
French
French est un artiste autodidacte de 23 ans, vivant à Vitry-sur-Seine. Il dessine dès son plus jeune âge, entouré de parents créatifs. Avec la découverte de la culture Hip Hop à l'adolescence, il se tourne alors vers le graffiti vandale, qu'il pratique depuis près de 10 ans, à Marseille dans un premier temps puis en région parisienne. Il poursuit son parcours scolaire avec des études de graphisme et d’imprimerie. 2012 marque son passage de la rue à l'atelier. Sans délaisser pour autant sa pratique urbaine, cette nouvelle approche lui permet de développer sa technique picturale et de s'essayer à un autre support: la toile. A ses œuvres sur toile s'ajoute le design de meubles et d'objets qu'il détourne et customise. Son travail se caractérise par une accumulation graphique d'éléments Récurrent à laquelle s'ajoute la notion de directions multiples. Il offre ainsi une réflexion sur le passé que l'on traîne et sur les mains tendues vers soi au cours de notre vie, tant pour nous hisser vers le haut que pour nous pousser vers le bas.
Lorenzo
L'énigmatique Lorenzo Eroticolor, artiste français et un extraordinaire affichiste : c’est le créateur des séries d'affiches Aristocratic Motorcyclist - un exploration de la mythologie mécanique connue dans le monde entier - et de la série Eroticolor, amoureux hommage à l'art de l'affiche érotique. Toujours avec humour et élégance, il oscille entre le faussaire et l'hommage érudit. C. Hunter, Nouvelle Zélande.
L'énigmatique Lorenzo Eroticolor, artiste français et un extraordinaire affichiste : c’est le créateur des séries d'affiches Aristocratic Motorcyclist - un exploration de la mythologie mécanique connue dans le monde entier - et de la série Eroticolor, amoureux hommage à l'art de l'affiche érotique. Toujours avec humour et élégance, il oscille entre le faussaire et l'hommage érudit. C. Hunter, Nouvelle Zélande.
Lorenzo
Après avoir suivi une formation en arts graphiques, Stéphane Carricondo fonde le collectif 9e Concept avec Jerk 45 et Ned. Son œuvre tout entière est un hommage à l’humain. Une quête artistique introspective, mais aussi sa manière de décrypter l’autre. A travers ses visages, striés par des lignes fermées, il  cherche à exprimer la cartographie d’un territoire intérieur.
 Certaines photographies anthropologiques africaines et amérindiennes ont beaucoup nourri son travail, habité par cette quête perpétuelle de faire passer des émotions et surtout de révéler cette part d’humanité que nous partageons tous, bien au delà de la barrière des apparences.
 Stéphane
Après avoir suivi une formation en arts graphiques, Stéphane Carricondo fonde le collectif 9e Concept avec Jerk 45 et Ned. Son œuvre tout entière est un hommage à l’humain. Une quête artistique introspective, mais aussi sa manière de décrypter l’autre. A travers ses visages, striés par des lignes fermées, il  cherche à exprimer la cartographie d’un territoire intérieur.
 Certaines photographies anthropologiques africaines et amérindiennes ont beaucoup nourri son travail, habité par cette quête perpétuelle de faire passer des émotions et surtout de révéler cette part d’humanité que nous partageons tous, bien au delà de la barrière des apparences.
 Stéphane Carricondo
C'est en 2009, lors d'une année en Océanie, que Victor Guerin a  découvert la photographie. Très rapidement il s’est spécialisé dans la photo de nuit utilisant la longue pose et des lampes torches pour créer des effets lumineux éphémères. Il a toujours fait en sorte de montrer/exposer ce qu’il crée lors de la prise de vue, sans retouches, depuis ses début. La photographie numérique lui a permis de pratiquer, d'essayer et de développer sa vision photographique que ce soit en milieu urbain ou sauvage.  Depuis 2013, il s’est tourné vers la photographie argentique, toujours en utilisant les techniques de longue pose et de LightPainting, pour le challenger et continuer d'apprendre. Capter l’instant, le détail qui fait que ce moment est unique. Victor, Montpelliérain et NouveauParisien.
Victor Guerin
C'est en 2009, lors d'une année en Océanie, que Victor Guerin a  découvert la photographie. Très rapidement il s’est spécialisé dans la photo de nuit utilisant la longue pose et des lampes torches pour créer des effets lumineux éphémères. Il a toujours fait en sorte de montrer/exposer ce qu’il crée lors de la prise de vue, sans retouches, depuis ses début. La photographie numérique lui a permis de pratiquer, d'essayer et de développer sa vision photographique que ce soit en milieu urbain ou sauvage.  Depuis 2013, il s’est tourné vers la photographie argentique, toujours en utilisant les techniques de longue pose et de LightPainting, pour le challenger et continuer d'apprendre. Capter l’instant, le détail qui fait que ce moment est unique. Victor, Montpelliérain et NouveauParisien.
Skio
Skio, artiste tout terrain, aime à toujours rechercher de nouvelles techniques que ce soit à base d’encre, d’acrylique, d’aérosol, 
et de composition numérique. Son travail du corps humain et animal est sublimé par le détail et l’imaginaire du décor ornemental dans lequel il s’inclue. Poétique, baroque voire romantique, ses créations en noir et blanc se composent dans un réel dynamisme.
Skio, artiste tout terrain, aime à toujours rechercher de nouvelles techniques que ce soit à base d’encre, d’acrylique, d’aérosol, 
et de composition numérique. Son travail du corps humain et animal est sublimé par le détail et l’imaginaire du décor ornemental dans lequel il s’inclue. Poétique, baroque voire romantique, ses créations en noir et blanc se composent dans un réel dynamisme.
Diplômée en littérature et théâtre, puis comédienne et scénographe pendant quelques années entre la France et l’Italie, la curiosité et la peur de l’ennui l’ont amenés à multiplier les voyages. De retour d’escapades les poches vides mais avec une vraie envie de « dire » et de « faire » ailleurs que sur une scène, elle s’essaie, bien maladroitement, au dessin pour finalement aboutir au collage. De ses petits visuels originaux taillés et collés à la main avec papiers et matériels d’époque, elle crée des images où se croisent questions de genre et notions de frontières qu’elle appose ensuite en très grands formats dans les rues (de sa ville et d’ailleurs).
Madame
Madame
Diplômée en littérature et théâtre, puis comédienne et scénographe pendant quelques années entre la France et l’Italie, la curiosité et la peur de l’ennui l’ont amenés à multiplier les voyages. De retour d’escapades les poches vides mais avec une vraie envie de « dire » et de « faire » ailleurs que sur une scène, elle s’essaie, bien maladroitement, au dessin pour finalement aboutir au collage. De ses petits visuels originaux taillés et collés à la main avec papiers et matériels d’époque, elle crée des images où se croisent questions de genre et notions de frontières qu’elle appose ensuite en très grands formats dans les rues (de sa ville et d’ailleurs).
Ilk
Ilk est né, vit et travaille dans une forêt du quatre-vingt-treize, les ténèbres de la banlieue Parisienne, France. Il découvre le metal et les films d’horreur à 10 ans, commence à développer ses photos en labo à 11 ans, sombre dans les cartes Magic et Warhammer à 12 ans, commence le graffiti en 1998. Fort de cet éclectisme, il est diplômé en arts plastiques en 2002. Après cela , il commence à travailler dans la création de packagings pour Disney.  Depuis 2006, il travaille pour divers marques et agences créatives en tant que designer graphique et directeur artistique freelance principalement dans les domaines de la musique, du luxe et de la mode, ce qui lui apporte une forte rigueur et compréhension des clients. En parallèle il développe un style personnel en peinture, dessin, illustration, graphisme, typographie, photographie, et réalise dans e monde entier de nombreuses expositions et collaborations avec des marques. L’art ludique de Ludovilk “Ilk” Myers, clairsemé de couleurs et formes amusantes, n’est qu’une main tendue pour sombrer dans l’obscurité d’un univers imaginaire, organique et oppressant.
Ilk est né, vit et travaille dans une forêt du quatre-vingt-treize, les ténèbres de la banlieue Parisienne, France. Il découvre le metal et les films d’horreur à 10 ans, commence à développer ses photos en labo à 11 ans, sombre dans les cartes Magic et Warhammer à 12 ans, commence le graffiti en 1998. Fort de cet éclectisme, il est diplômé en arts plastiques en 2002. Après cela , il commence à travailler dans la création de packagings pour Disney.  Depuis 2006, il travaille pour divers marques et agences créatives en tant que designer graphique et directeur artistique freelance principalement dans les domaines de la musique, du luxe et de la mode, ce qui lui apporte une forte rigueur et compréhension des clients. En parallèle il développe un style personnel en peinture, dessin, illustration, graphisme, typographie, photographie, et réalise dans e monde entier de nombreuses expositions et collaborations avec des marques. L’art ludique de Ludovilk “Ilk” Myers, clairsemé de couleurs et formes amusantes, n’est qu’une main tendue pour sombrer dans l’obscurité d’un univers imaginaire, organique et oppressant.
Koralie
Originaire de Montpellier, et après avoir passé 4 ans à NYC, Koralie, artiste urbaine et plasticienne, travaille et vit aujourd’hui à Paris. Architecte de formation, elle s’est très rapidement consacrée à sa vocation artistique.  Peindre, dessiner et maquetter sont sa passion depuis l’enfance. Elle commence à exposer à 19ans, en parallèle elle découvre le graffiti, une révélation,  elle passera le reste de son temps libre à peindre sur les murs des villes. Elle puise son inspiration dans les cultures et les traditions des pays du monde ( des costumes folkloriques aux monuments historiques), qui offrent une richesse esthétique, une variété de symboles propres à chacun. Elle s’amuse à abattre les frontières en mélangeant des éléments  de ces différentes origines et parvient à créer une harmonie de cette association. A partir de cette réflexion, Koralie a crée un univers graphique singulier et élégant qui gravite autour de sa Geishka ( mi-geisha, mi-matriochka) : personnage hybride  entre sensualité et pudeur. Ainsi ses Geishka peuvent être des « statuts–colonnes » qui s’intègrent au paysage urbain lors de ses actions dans la rue, ou lorsqu’elle bâtit ses cathédrales imaginaires ; et se réduire à un élément graphique dans la composition des ses mandalas. Pour se faire elle utilise : la peinture, le collage,  le dessin, le numérique, la découpe, l’assemblage, le tissage… Tout ce qui lui permettra d’assouvir sa fascination pour la géométrie en général et la symétrie en particulier. En 2005, avec son mari SupaKitch, artiste notoire, ils crées « Metroplastique », label d’objets dérivés de leur univers, et gagnent « Le prix du jeune entrepreneur de mode » par le ministère de la jeunesse et des sports, aujourd’hui, boutique en ligne incontournable. Ensemble ils peignent des fresques au 4 coins du monde ( Musée du Jouet-MEXICO,  Musée de la Culture_GÖTEBORG … ), leur process est souvent monté en vidéo par leur ami et réalisateur Damien Vignaux. Leurs films sont vus entre 50 000 et 2millions de fois chacun sur internet. Koralie  expose en galerie ( Galerie LJ_PARIS, Joshua Liner Gallery NYC, Dorothy Circus Gallery_ROME … ),  collabore pour de grandes marques ou  des artistes  ( Volvo, Posca,  Kidrobot, Emilie Simon, Triwa, Carhartt … ), on peut voir son travail dans des livres comme Pictoplasma, Juxtapoz ou le Guide de l’art contemporain urbain. En 2014, une première monographie lui est consacré ( « Le Black Color Book de SupaKitch & Koralie » aux éditions Pyramyd )
Originaire de Montpellier, et après avoir passé 4 ans à NYC, Koralie, artiste urbaine et plasticienne, travaille et vit aujourd’hui à Paris. Architecte de formation, elle s’est très rapidement consacrée à sa vocation artistique.  Peindre, dessiner et maquetter sont sa passion depuis l’enfance. Elle commence à exposer à 19ans, en parallèle elle découvre le graffiti, une révélation,  elle passera le reste de son temps libre à peindre sur les murs des villes. Elle puise son inspiration dans les cultures et les traditions des pays du monde ( des costumes folkloriques aux monuments historiques), qui offrent une richesse esthétique, une variété de symboles propres à chacun. Elle s’amuse à abattre les frontières en mélangeant des éléments  de ces différentes origines et parvient à créer une harmonie de cette association. A partir de cette réflexion, Koralie a crée un univers graphique singulier et élégant qui gravite autour de sa Geishka ( mi-geisha, mi-matriochka) : personnage hybride  entre sensualité et pudeur. Ainsi ses Geishka peuvent être des « statuts–colonnes » qui s’intègrent au paysage urbain lors de ses actions dans la rue, ou lorsqu’elle bâtit ses cathédrales imaginaires ; et se réduire à un élément graphique dans la composition des ses mandalas. Pour se faire elle utilise : la peinture, le collage,  le dessin, le numérique, la découpe, l’assemblage, le tissage… Tout ce qui lui permettra d’assouvir sa fascination pour la géométrie en général et la symétrie en particulier. En 2005, avec son mari SupaKitch, artiste notoire, ils crées « Metroplastique », label d’objets dérivés de leur univers, et gagnent « Le prix du jeune entrepreneur de mode » par le ministère de la jeunesse et des sports, aujourd’hui, boutique en ligne incontournable. Ensemble ils peignent des fresques au 4 coins du monde ( Musée du Jouet-MEXICO,  Musée de la Culture_GÖTEBORG … ), leur process est souvent monté en vidéo par leur ami et réalisateur Damien Vignaux. Leurs films sont vus entre 50 000 et 2millions de fois chacun sur internet. Koralie  expose en galerie ( Galerie LJ_PARIS, Joshua Liner Gallery NYC, Dorothy Circus Gallery_ROME … ),  collabore pour de grandes marques ou  des artistes  ( Volvo, Posca,  Kidrobot, Emilie Simon, Triwa, Carhartt … ), on peut voir son travail dans des livres comme Pictoplasma, Juxtapoz ou le Guide de l’art contemporain urbain. En 2014, une première monographie lui est consacré ( « Le Black Color Book de SupaKitch & Koralie » aux éditions Pyramyd )
Olivia de Bona
C’est en 2005 que le chemin d’Olivia de Bona, tout juste diplômée en Arts Appliqués et en Cinéma d’Animation, croise celui des membres du 9eme concept. Au coeur de ce collectif, la jeune artiste participe à de nombreux projets artistiques. Insatiable, elle alterne alors commandes professionnelles et créations personnelles, mixe les médiums et expérimente tous supports. L’univers d’Olivia de Bona se situe entre tendresse coquine, désir animal, douceur amoureuse et érotisme primal. L’ensemble de son oeuvre fait écho à notre imaginaire d’enfant, elle nous dévoile par bribes des histoires entendues, mais qu’on aurait oubliées. Ses personnages étranges et élégants, sorte de bataillons fantastiques se croisent, se mêlent et vont se fondre au décor comme on perd soudain le fil du temps dans un rêve. Tout en rondeur, l’univers d’Olivia est direct et raffiné, on plane au milieu d’une nature qui nous caresse et joue avec nous. Et ainsi, le poil, le cheveu, la peau, le trait, flottent dans un petit vent qui rafraichit les sens. À mi-chemin entre les dessins animés de notre enfance et les contes populaires, l’artiste nous maintient entre deux mondes, entre la douceur de nos souvenirs et leurs recoins les plus sombres, là où sommeillent nos profondes angoisses. Ainsi, l’oeuvre d’Olivia de Bona ne s’appréhende pas en un seul regard, en un seul souffle, il faut savoir tendre l’oreille et comprendre les murmures, et surtout accepter de voir resurgir en notre mémoire de lointaines émotions.
C’est en 2005 que le chemin d’Olivia de Bona, tout juste diplômée en Arts Appliqués et en Cinéma d’Animation, croise celui des membres du 9eme concept. Au coeur de ce collectif, la jeune artiste participe à de nombreux projets artistiques. Insatiable, elle alterne alors commandes professionnelles et créations personnelles, mixe les médiums et expérimente tous supports. L’univers d’Olivia de Bona se situe entre tendresse coquine, désir animal, douceur amoureuse et érotisme primal. L’ensemble de son oeuvre fait écho à notre imaginaire d’enfant, elle nous dévoile par bribes des histoires entendues, mais qu’on aurait oubliées. Ses personnages étranges et élégants, sorte de bataillons fantastiques se croisent, se mêlent et vont se fondre au décor comme on perd soudain le fil du temps dans un rêve. Tout en rondeur, l’univers d’Olivia est direct et raffiné, on plane au milieu d’une nature qui nous caresse et joue avec nous. Et ainsi, le poil, le cheveu, la peau, le trait, flottent dans un petit vent qui rafraichit les sens. À mi-chemin entre les dessins animés de notre enfance et les contes populaires, l’artiste nous maintient entre deux mondes, entre la douceur de nos souvenirs et leurs recoins les plus sombres, là où sommeillent nos profondes angoisses. Ainsi, l’oeuvre d’Olivia de Bona ne s’appréhende pas en un seul regard, en un seul souffle, il faut savoir tendre l’oreille et comprendre les murmures, et surtout accepter de voir resurgir en notre mémoire de lointaines émotions.
Rero
À mi-chemin entre art urbain et art conceptuel, Rero interroge d’un côté le contexte de l’art, de l’autre les codes de l’image et de la propriété intellectuelle à travers un acronyme qui apparaît régulièrement dans ses œuvres : WYSIWYG (What You See Is What You Get). Détournement et auto-censure — il barre ses messages d’un épais trait noir —  sont les maîtres mots de ses recherches sur la négation de l’image.  Fortement imprégné de philosophie et de sociologie, il ne cesse d’interroger les codes de notre société, notamment autour des notions de consommation et d’obsolescence, sans jamais juger mais en proposant au regardeur de le faire. L’artiste questionne les limites de l’intime avec ce que nous rendons public, volontairement ou involontairement, consciemment ou inconsciemment, notamment sur Internet. Par une construction radicale, où tout doit être montré et rien ne doit être caché, Rero détermine la limite entre l’intérieur et l’extérieur. Né en 1983, Rero a présenté ses œuvres dans de nombreuses institutions publiques comme le Centre Georges Pompidou, Le Musée en Herbe, le Musée de la Poste, Confluences à Paris ou encore l’Antje Øklesund de Berlin. Plus récemment, son travail a bénéficié de nombreuses expositions en France, aux Etats-Unis, en Italie, en Allemagne et en Suisse.
À mi-chemin entre art urbain et art conceptuel, Rero interroge d’un côté le contexte de l’art, de l’autre les codes de l’image et de la propriété intellectuelle à travers un acronyme qui apparaît régulièrement dans ses œuvres : WYSIWYG (What You See Is What You Get). Détournement et auto-censure — il barre ses messages d’un épais trait noir —  sont les maîtres mots de ses recherches sur la négation de l’image.  Fortement imprégné de philosophie et de sociologie, il ne cesse d’interroger les codes de notre société, notamment autour des notions de consommation et d’obsolescence, sans jamais juger mais en proposant au regardeur de le faire. L’artiste questionne les limites de l’intime avec ce que nous rendons public, volontairement ou involontairement, consciemment ou inconsciemment, notamment sur Internet. Par une construction radicale, où tout doit être montré et rien ne doit être caché, Rero détermine la limite entre l’intérieur et l’extérieur. Né en 1983, Rero a présenté ses œuvres dans de nombreuses institutions publiques comme le Centre Georges Pompidou, Le Musée en Herbe, le Musée de la Poste, Confluences à Paris ou encore l’Antje Øklesund de Berlin. Plus récemment, son travail a bénéficié de nombreuses expositions en France, aux Etats-Unis, en Italie, en Allemagne et en Suisse.
Dès 99, Alexis TAÏEB découvre le graffiti et y fait ses premières armes, ses premières esquisses de lettres. De là naitra sa vocation et son amour de la typographie qui guidera naturellement son parcours scolaire.  Diplômé des Gobelins en 2007, il en sortira avec un bagage solide et une connaissance approfondie de la typographie. En 2008, il se lance à plein temps en free-lance, aussi à l’aise en web qu’en print, ses qualités et son exigence le font très vite apprécier des différentes agences parisiennes, parmi lesquelles figurent betc euro rscg, publicis, ddb, sid lee, etc. Que ce soit à partir d’un brief à fortes contraintes ou d’un projet avec une totale liberté, qu’elle soit illustrative ou plus traditionnelle, la typographie est le point de départ et le centre des réflexions du travail d’alexis taïeb. Ses visuels précis et modernes, sont le fruit d’une recherche de l’originalité dans les compositions, réinventer la lettre sans jamais perdre son sens, ni celui de l’esthétique.
Tyrsa
Dès 99, Alexis TAÏEB découvre le graffiti et y fait ses premières armes, ses premières esquisses de lettres. De là naitra sa vocation et son amour de la typographie qui guidera naturellement son parcours scolaire.  Diplômé des Gobelins en 2007, il en sortira avec un bagage solide et une connaissance approfondie de la typographie. En 2008, il se lance à plein temps en free-lance, aussi à l’aise en web qu’en print, ses qualités et son exigence le font très vite apprécier des différentes agences parisiennes, parmi lesquelles figurent betc euro rscg, publicis, ddb, sid lee, etc. Que ce soit à partir d’un brief à fortes contraintes ou d’un projet avec une totale liberté, qu’elle soit illustrative ou plus traditionnelle, la typographie est le point de départ et le centre des réflexions du travail d’alexis taïeb. Ses visuels précis et modernes, sont le fruit d’une recherche de l’originalité dans les compositions, réinventer la lettre sans jamais perdre son sens, ni celui de l’esthétique.
Les artistes
TYRSA
JEAN FAUCHEUR
ALEXÖNE
Vincent Desailly
Vincent Desailly, Photographe, 26 ans. Il s’intéresse à la photographie lors de ses années de lycéens dans l’ouest parisien. Alors qu’il démarre son activité de photographe peu de de temps après le bac il co-fonde en février 2010 le magazine culture & société mensuel Snatch dont il sera depuis directeur de la publication, jusqu’à peu ; après plus de cinq ans d’histoires folles, vécues et contées, le magazine s’arrête en Septembre 2015. Il se dédie désormais entièrement à la photographie, cherchant à défendre un univers plus qu’un genre, naviguant entre le portrait, la mode et la photographie documentaire. Les images exposées aujourd’hui sont extraites de ses reportages au Brésil en Octobre 2013 et à Cuba en Février 2015.
Vincent Desailly, Photographe, 26 ans. Il s’intéresse à la photographie lors de ses années de lycéens dans l’ouest parisien. Alors qu’il démarre son activité de photographe peu de de temps après le bac il co-fonde en février 2010 le magazine culture & société mensuel Snatch dont il sera depuis directeur de la publication, jusqu’à peu ; après plus de cinq ans d’histoires folles, vécues et contées, le magazine s’arrête en Septembre 2015. Il se dédie désormais entièrement à la photographie, cherchant à défendre un univers plus qu’un genre, naviguant entre le portrait, la mode et la photographie documentaire. Les images exposées aujourd’hui sont extraites de ses reportages au Brésil en Octobre 2013 et à Cuba en Février 2015.
Artiste et illustrateur vivant à Paris, Youssef a étudié pendant 6 ans à l’école d’architecture de Paris La Villette, et un an à l’Université Waseda de Tokyo en échange universitaire. Passionné par la culture japonaise en général, il a développé un intérêt particulier pour la relation entre la nature japonaise et l’architecture. Au cours de cette année, Youssef a travaillé dans le studio d’architecture TEZUKA & TEZUKA et le studio d’architecture SANAA. Alors qu’il est encore étudiant, il rencontre l’artiste français JR. En 2007, ce dernier l’entraîne dans plusieurs projet dans le monde. Youssef Boubekeur expose son « bestiaire », sa galerie de portraits d’animaux pris en  agrant délit d’humanité. Une série de personnages élégants, au regard toujours intense, qui évoquent des personnalités ou rappellent des rencontres. Une collection de portraits qui permet, à travers chacun d’eux, de porter un regard amusé sur la nature humaine et les rapports complexes et ambigus qu’elle entretient avec la condition animale. Une ambiguïté que Youssef recherche, travaille, et que l’on retrouve dans l’expression énigmatique de ses personnages. Youssef nous présente un « bestiaire bleu ». Ses différents portraits présentent une unité originale : ils sont tous réalisés au stylo Bic©. Un outil banal qu’il affectionne. Un outil aux traits indélébiles, qui lui permet de travailler ses dessins comme on sculpte de la matière. C’est aussi un travail de grande précision, rendant ses dessins étonnamment réalistes.
Youssef Boubekeur
Artiste et illustrateur vivant à Paris, Youssef a étudié pendant 6 ans à l’école d’architecture de Paris La Villette, et un an à l’Université Waseda de Tokyo en échange universitaire. Passionné par la culture japonaise en général, il a développé un intérêt particulier pour la relation entre la nature japonaise et l’architecture. Au cours de cette année, Youssef a travaillé dans le studio d’architecture TEZUKA & TEZUKA et le studio d’architecture SANAA. Alors qu’il est encore étudiant, il rencontre l’artiste français JR. En 2007, ce dernier l’entraîne dans plusieurs projet dans le monde. Youssef Boubekeur expose son « bestiaire », sa galerie de portraits d’animaux pris en  agrant délit d’humanité. Une série de personnages élégants, au regard toujours intense, qui évoquent des personnalités ou rappellent des rencontres. Une collection de portraits qui permet, à travers chacun d’eux, de porter un regard amusé sur la nature humaine et les rapports complexes et ambigus qu’elle entretient avec la condition animale. Une ambiguïté que Youssef recherche, travaille, et que l’on retrouve dans l’expression énigmatique de ses personnages. Youssef nous présente un « bestiaire bleu ». Ses différents portraits présentent une unité originale : ils sont tous réalisés au stylo Bic©. Un outil banal qu’il affectionne. Un outil aux traits indélébiles, qui lui permet de travailler ses dessins comme on sculpte de la matière. C’est aussi un travail de grande précision, rendant ses dessins étonnamment réalistes.
Alexöne
Paris, début des années 90, les rues de la capitale s’ornent de motifs étranges et singuliers : les Oediperies. Son auteur, le jeune Alëxone crache de la couleur, des écritures et des personnages uniques. On dit de lui qu’il est tagueur, ou graffeur selon la terminologie... Avec le temps, il développera sa technique sur d’autres supports que ceux proposés par l’espace urbain. De la rue, il gardera un état d’esprit et l’envie de toujours plus expérimenter. Car Alëxone c’est avant tout un style faci- lement reconnaissable dès le premier coup d’oeil. Jeux de couleurs, de matière, personnages atypiques, jeux de mots, décalage... le jeune trentenaire oscille entre poésie urbaine et timide majesté. Ses personnages surréalistes sont mis en scène dans un monde coloré et déjanté où règne une folie douce. Pingouins auréolés, chevaux cracheurs de feu, et autres chiens aux yeux barrés composent un bestiaire loufoque et chaotique. Ces animaux sont de véritables éléments graphiques qui mutent et dont la signi cation varie d’une toile à une autre. Si l’on ausculte le talent d’Alexone au microscope, on trouvera dans ses oeuvres l’in uence du graf ti, la culture pop, la bande dessinée ou encore l’art byzantin et l’illustration. Loin de l’hommage indocile, Alëxone convoque autant les icônes du quotidien que les grandes peintures, le tout avec une touche d’humour et d’ironie que l’on retrouve dans le titre de ses oeuvres.


Paris, début des années 90, les rues de la capitale s’ornent de motifs étranges et singuliers : les Oediperies. Son auteur, le jeune Alëxone crache de la couleur, des écritures et des personnages uniques. On dit de lui qu’il est tagueur, ou graffeur selon la terminologie... Avec le temps, il développera sa technique sur d’autres supports que ceux proposés par l’espace urbain. De la rue, il gardera un état d’esprit et l’envie de toujours plus expérimenter. Car Alëxone c’est avant tout un style faci- lement reconnaissable dès le premier coup d’oeil. Jeux de couleurs, de matière, personnages atypiques, jeux de mots, décalage... le jeune trentenaire oscille entre poésie urbaine et timide majesté. Ses personnages surréalistes sont mis en scène dans un monde coloré et déjanté où règne une folie douce. Pingouins auréolés, chevaux cracheurs de feu, et autres chiens aux yeux barrés composent un bestiaire loufoque et chaotique. Ces animaux sont de véritables éléments graphiques qui mutent et dont la signi cation varie d’une toile à une autre. Si l’on ausculte le talent d’Alexone au microscope, on trouvera dans ses oeuvres l’in uence du graf ti, la culture pop, la bande dessinée ou encore l’art byzantin et l’illustration. Loin de l’hommage indocile, Alëxone convoque autant les icônes du quotidien que les grandes peintures, le tout avec une touche d’humour et d’ironie que l’on retrouve dans le titre de ses oeuvres.


Axel Morin nous emmène en virée. Destina- tion New-York et ses quartiers du Bronx, de Harlem et de Brooklyn sous la chaleur écra- sante du soleil d’été. Et le voyage ne sera pas sans vous rappeler le tumultueux Do the right thing de Spike Lee. Le jeune photographe parisien y retrouve les thèmes et le type de zones qui lui sont chers. Dans un décor urbain délabré, posent ou sont saisis dans l’instant des personnages - roi auto-proclamé, gamins électrisés par leur éternelle énergie- et leurs accessoires qui s’af chent avec la même  erté. Les regards vous transpercent ou prolongent le nôtre vers un ail- leurs et d’autres vies. Certains instantanés, saturés de détails et de couleurs semblent au bord de l’explosion : c’est que toute la vie capturée par l’objectif s’y contient avec peine. Par contraste, d’autres prises de vue désertées de toute présence humaine nous plongent dans l’immobilité la plus irréelle. Par ailleurs réalisateur de clips vidéo, Axel Morin contribue avec cette série à façonner une iconographie de la rue, toujours nou- velle et universelle.
   
Alex Morin
Axel Morin nous emmène en virée. Destina- tion New-York et ses quartiers du Bronx, de Harlem et de Brooklyn sous la chaleur écra- sante du soleil d’été. Et le voyage ne sera pas sans vous rappeler le tumultueux Do the right thing de Spike Lee. Le jeune photographe parisien y retrouve les thèmes et le type de zones qui lui sont chers. Dans un décor urbain délabré, posent ou sont saisis dans l’instant des personnages - roi auto-proclamé, gamins électrisés par leur éternelle énergie- et leurs accessoires qui s’af chent avec la même  erté. Les regards vous transpercent ou prolongent le nôtre vers un ail- leurs et d’autres vies. Certains instantanés, saturés de détails et de couleurs semblent au bord de l’explosion : c’est que toute la vie capturée par l’objectif s’y contient avec peine. Par contraste, d’autres prises de vue désertées de toute présence humaine nous plongent dans l’immobilité la plus irréelle. Par ailleurs réalisateur de clips vidéo, Axel Morin contribue avec cette série à façonner une iconographie de la rue, toujours nou- velle et universelle.
Marianne Ratier
Après avoir suivi des études de lettres et de communication visuelle à l’ECV, à Paris, Marianne Ratier passe d’abord par la publicité (CLM BBDO, Publicis) avant de se consacrer pleinement à l’illustration. Depuis 2008, elle a publié deux romans graphiques et deux livres pour enfants (La petite taiseuse, prix Sorcières 2011, et Le Festin de Raccoon en 2014, prix du Livre Gourmand). Elle réalise de nombreux projets dans le domaine de la mode (Homecore, Bérangère Claire, Com- mune de Paris, Le Mont-Saint-Michel pour qui elle a dessiné plusieurs motifs) ou de la presse écrite (Néon, Cosmopolitan, Marie- Claire, Papier Mâché, Milk), et montre régu- lièrement ses travaux personnels dans des expositions, comme celle du Barbershop en 2012 ou celle de l’Attrape-Rêve en 2014.
Marianne Ratier
Après avoir suivi des études de lettres et de communication visuelle à l’ECV, à Paris, Marianne Ratier passe d’abord par la publicité (CLM BBDO, Publicis) avant de se consacrer pleinement à l’illustration. Depuis 2008, elle a publié deux romans graphiques et deux livres pour enfants (La petite taiseuse, prix Sorcières 2011, et Le Festin de Raccoon en 2014, prix du Livre Gourmand). Elle réalise de nombreux projets dans le domaine de la mode (Homecore, Bérangère Claire, Com- mune de Paris, Le Mont-Saint-Michel pour qui elle a dessiné plusieurs motifs) ou de la presse écrite (Néon, Cosmopolitan, Marie- Claire, Papier Mâché, Milk), et montre régu- lièrement ses travaux personnels dans des expositions, comme celle du Barbershop en 2012 ou celle de l’Attrape-Rêve en 2014.